Collaborations 'Glamour', 'Harper's Bazaar', 'Parade', Vogue

Guest Writer for Glamour magazine (UK) in an article called "My 10 style commandments" :



(The article was featured on Star magazine as well)



(Also, this article was translated and featured in Glamour Russia)




Guest Fashion Editor for Harper's Bazaar magazine 'March 2007 issue' :




(Article from People magazine commenting about this collaboration)



Guest Fashion Editor for Parade magazine 'December 2007 Issue'




Guest Editor for Glamour magazine 'september 2012' issue



(the article & photoshoot were also published on Glamour France 'december 2012' issue :    
   


(the same for Glamour Poland 'january 2013 issue') :



+ A Video about this collaboration :

^Thanks a lot fot those scans Shiraz!!!

Guest Fashion Editor for Parade magazine 'December 2007 Issue'





Story : Photographer Lorenzo Agius ran into his friend, stylist David Thomas, at a car wash in Los Angeles and the two got to talking about work. David mentioned that he had recently worked with Victoria Beckham. He said Victoria told him that the one star she was dying to style was Jack Nicholson.

As it turns out, Lorenzo was scheduled to photograph Nicholson for PARADE magazine, so he and David pitched a great idea : Victoria Beckham would style Jack for the PARADE shoot. PARADE's editors loved the idea and everyone was able to make it happen. The shoot took place in the Presidential Suite at The Beverly Hills Hotel on October 29 and turned out fabulous.

Photographer : Lorenzo Agius

Location : The Beverly Hills Hotel in the Presidential Suite

Date : October 29th, 2007

More Info : http://www.parade.com/celebrity/articles/071205-jack-nicholson-shoot.html

Thanx for posting Shiraz!

I love her with Jack!!!
Thanks Shiraz

Daily Telegraph (December 13th, 2007 Issue)



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Thanks. Love Jack Nicholson and happy that she styled him.

The Mail On Sunday (January 13th, 2008)

The Poshster? LOL. He's such a nice guy.

Guest Editor for Vogue 'Paris' (December 2013 issue)


















   




Press :

Croatia Večernji list - Hrvatska (december 1st, 2013)






5 janv. 2014 Le Matin   Bertrand Monnard bertrand.monnard @lematindimanche.ch




«A la maison, je suis une mère comme les autres» Avec David, il y a eu des hauts et des bas, mais nous sommes fiers l’un de l’autre»
VICTORIA BECKHAM Styliste
Je fais mes courses au supermarché avec mes enfants. Les gens me regardent comme s’ils étaient au cirque»
VICTORIA BECKHAM Styliste

«Vogue Paris» lui consacre un numéro spécial. Dans un long entretien, Mme Beckham casse bon nombre de clichés la concernant.

«Un jour, alors que j’étais allée en urgence à la pharmacie pour un de mes garçons, le vendeur s’est exclamé: «Oh, vous ressemblez à Victoria Beckham, mais en mieux, elle a l’air triste.» «Vous avez raison, lui ai-je répondu, cette fille est une vraie garce, jamais un sourire.»

Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, Victoria Beckham sait manier l’autodérision et ne manque pas de recul envers son personnage. Vogue

Paris, le prestigieux magazine, lui consacre la quasi-totalité de son dernier numéro, à savoir une centaine de pages très glamour, riches en photos. Dans une longue interview, Victoria casse bon nombre de clichés qui lui collent à la peau: loin de la diva hautaine et froide, elle s’y révèle certes ambitieuse, mais surtout touchante, sensible, drôle par moments, en abordant tous les sujets, David, ses quatre enfants, sa passion pour le métier de styliste. Rédactrice en chef de Vogue

Paris, Emmanuelle Alt a été séduite par cette femme «perfectionniste mais aussi spontanée et pleine d’humour».

500 boutiques dans le monde
Aujourd’hui, la griffe Victoria Beckham est distribuée dans quelque 500 boutiques réparties dans 60 pays. Au printemps, un magasin à son nom ouvrira en plein centre de Londres. Un couronnement. «Je ne suis pas ébahie par le succès parce que j’ai toujours cru en moi. Je suis férocement ambitieuse et très compétitive, mais pas avec les autres, avec moi-même.»

En 2011, lors des Fashion British Awards, Victoria Beckham avait été élue designer de l’année, devant Tom Ford et Stella McCartney, récompense très convoitée qu’elle avait vécue comme une victoire sur les sceptiques. «J’étais bouleversée, je n’ai cessé de pleurer. La salle était remplie de personnalités qui, sans doute, avaient douté de mes capacités. Je suis une femme forte, j’ai la tête sur les épaules, mais l’estime de la profession m’émeut profondément.» Longtemps elle n’a pas voulu que David assiste à ses défilés, de peur qu’il n’attire toute l’attention. «Il ne vient que depuis deux saisons seulement. Avant, je ne voulais pas, car sa présence aurait trop diverti les journalistes, je préférais qu’ils se concentrent sur les vêtements. Aujourd’hui, David vient avec plaisir, nous sommes supporters l’un de l’autre.»

L’homme de sa vie, elle l’a rencontré un peu par hasard. «Simon Fuller, le manager des Spice Girls, m’a emmenée voir un match de Manchester. David n’était pas une star à l’époque. Il m’a demandé mon numéro de téléphone et m’a rappelée le lendemain. Il était très gentil. Oui, c’était un coup de foudre, on peut le dire.» Les Beckham ont aujourd’hui quatre enfants, dont Harper, la petite dernière, et leur union, en qui peu de gens croyaient au début, a résisté à toutes les tempêtes. «David et moi avons traversé beaucoup de choses ensemble. Personne ne nous a rien donné. Il y a eu des hauts et des bas, mais nous sommes fiers l’un de l’autre.» En amour, ses parents servent de modèles à «Queen Victoria». «Après tant d’années, ils continuent à regarder la télévision en se serrant la main.»

Avide de tranquillité

Les Beckham sont, depuis des années, l’un des couples les plus médiatisés du monde et, pour Victoria, la notoriété n’a pas toujours été facile à supporter. «Je n’ai pas envie de m’en plaindre, mais je n’aime pas cela. Quand nous sommes rentrés à Londres, voilà un peu plus d’une année, des meutes de paparazzi stationnaient devant la maison et nous suivaient, agressifs, mal élevés. Heureusement, les choses se sont calmées.» Si elle a vécu ses plus belles années à Los Angeles, quand David jouait avec les Galaxy, c’est précisément parce qu’elle y a profité d’une tranquillité qu’elle n’a jamais connue ailleurs. «C’est si loin de tout qu’on vous fiche la paix, d’où une sensation de liberté. Le temps est génial, vous ouvrez l’oeil le matin, le soleil brille et ça vous rend heureux. J’adore Londres, mais la vie à L.A. est plus simple et plus décontractée.»

Loin des projecteurs, Victoria Beckham estime être une mère comme les autres. «Je rentre à la maison et je dis aux enfants: faites vos devoirs, arrêtez les jeux vidéo, allez vous coucher. J’ai l’impression de râler constamment. C’est moi qui vais au supermarché faire les courses en disant aux gosses comme toutes les mères: prends pas ci, prends pas ça. Les gens meregardent comme s’ils étaient au cirque. Mais c’est OK. David et moi faisons le job. Les enfants sont adorables, polis, bien dans leur peau.»


Drogue, volatilité des succès, la mode recèle de nombreux dangers. Victoria ne nourrit-elle pas des craintes? Elle répond avec l’aplomb qui la caractérise: «Si la passion de ce métier me faisait dériver, l’autre Victoria, la mère de famille, ferait contrebalance. Ma priorité ira toujours à mes enfants. Impossible que je perde les pédales, il y a trop de normalité dans ma personne